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Samedi 3 décembre 6 03 /12 /Déc 10:49

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— Maks ? Il y a pour toi un sujet. Je ne connais pas, si s'approchera, mais en tout cas ridicule jusqu'à tchertikov. Le policier familier a raconté que la femme tout à l'heure qui a déménagé au nouvel appartement élégant quelque part au boulevard de Sanset leur a téléphoné. A dit que sortait de la maison et a entendu, comment quelqu'un appelle en aide. Mais le plus étrange que "aidez" criaient doucement-doucement, tu comprends ? Non «aide-et-ite e-e-e!», et "aidez", à mi-voix, presque polouchepotom. Eh bien, envoient là-bas la voiture de patrouille, et cette femme leur montre l'appartement. Ils, certes, se serrent par l'oreille contre la porte, et est exact — est à peine audible est dénoncé de là :« Aide-ite »… Bach! Les policiers débarquent la porte et font irruption à l'intérieur. La femme, qui les a provoqué, va par la trace, regarder qu'est arrivé là. Dans le salon — rien. Dans la cuisine — rien. Opa! Devine qu'ils voient dans la chambre à coucher. La femme tout à fait nue attachée au lit de laiton. Sado-mazo, ainsi ? Encore mieux — sur le plancher à côté d'elle est le garçon dans le costume de Betmena et ne bouge pas. Il paraît que mort … le plus piquant : se révèle que deux pigeonne — le mari et la femme. Seul que les provoque, — quand il la lie, se pare ensuite du costume de Betmena, pénètre sur la commode à côté du lit et saute sur l'épouse avec le hurlement« BETME-E-E E-èmee!! ». Seulement pour cette fois le romantique de dieux a raté le coup et s'a été fendu tcherepouchkoj sur la colonne du lit. Il s'est vautré sur le plancher plus d'heure, et souproujnitsa craignait qu'il s'est consumé de chagrin, mais se gênait de l'aspect et c'est pourquoi criait"aidez", mais très doucement, dans l'espoir que seulement personne convenante entendra et viendra.— La France, Maks ne m'est pas nécessaire. Et les distractions ne sont pas nécessaires. Chez moi l'énorme quantité d'affaires de la maison. Je suis venue à cause de toi. Est venue, parce que tu demandais sur impossible, mais comment la noblesse, soudain "c'impossible", finalement, se trouvera le plus important ? Où nous vivrons ?Une fois, quelques mois après, elle a vu dans le supermarché ce vilain gazetenkou, «les Sensations et les révélations». Que raconte des atterrissages des extraterrestres et les médicaments contre l'écrevisse. À la première page se pavanait le titre :« La ville, où disparaissent les bébés ». Et la photo de Garamonda — Coulaient l'a appris, parce que sur le premier plan se pavanait le poste d'essence, où à celle-ci réparaient la voiture. Elle a acheté le journal et a lu l'article, en étant près du supermarché. Dans la petite ville en trois ans ont enlevé de deux bébés, et aucun et n'ont pas trouvé. Dans la note s'appelaient les noms des familles. Une — Majer. Il y avait Là, leurs photos, et elle aimait terriblement l'apparence et Gregori, et Anven. Les personnes admirables. Sage, cultivé. Ils n'étaient pas les parents de Lincoln. Coulaient on voulut apprendre jamais, qui étaient ses vrais parents, mais à Majerami il y avait un même et il est proche ainsi de cette place, où elle a pris de Lincoln. La coïncidence trop grande. Après Coulaient on aimait penser, comme si Majery — ses parents. C'est pourquoi parfois, très rarement pour ne pas provoquer les soupçons, elle s'y renseignait tout doucement. Je voyais de la coupure. D'abord elle a téléphoné à référentiel à Garamonde et a appris leur adresse de là-bas. Quand ils ont déménagé, a appris une nouvelle adresse sur la poste — Majery l'ont laissé pour l'envoi de la correspondance. Quelques années après Coulaient a écrit au journal de cette petite ville, où ils ont déménagé, et a demandé, si quelque chose n'était pas publié dans elle sur Majerakh. S'est appelée la parente, a dit que recueille l'album vyrezok pour une grande collecte prochaine familiale. Elle s'appelait toujours le nom inventé et demandait d'expédier les documents sur l'adresse de la boîte aux lettres. Eh bien, que ? Qui pouvait la coordonner avec Majerami ?

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